L’école est finie!!!

Et bien voilà une année « scolaire » s’achève

Pour ma part elle fut remplie

De beaucoup de joie

D’un peu de tristesse

Quelques déceptions

Mais pas assez pour me décourager!!!

Tout au long de cette année

J’ai participé à de nombreux défis

Mais un seul a vraiment retenu mon attention

Car voyez-vous il a été dirigé

Par une maîtresse exemplaire.

Toujours à notre écoute

Toujours le mot pour rire

Et surtout tant de politesse.

Toujours elle nous rend avec délicatesse

Les mots de tendresse

Qu’on lui adresse,

Ma façon de concevoir

Ce monde de la blogosphère.

Tous les élèves de

« La cour de récré de Jill Bill »

Pourront en témoigner.

Je vais vous présenter les coulisses

D’une surprise prévue pour notre maîtresse.

Tout a commencé le 1er juin

Oui je sais je m’y suis prise un peu tard

C’est en privé que j’ai demandé

A TOUS les élèves de la cour de récré

De m’envoyer un petit texte personnel

Ecrit dans la mesure de leurs possibilités

De leur main et non de leur clavier

Sur une feuille de cahier d’école.

A l’unanimité tout le monde

A répondu présent.

Oui mais voilà certains

Partaient en vacances

Et ne pouvaient le faire sur le champs

Mais que cela ne tienne

Ils pourront encore m’envoyer leur copie

Que je transfèrerai à notre maîtresse.

Je peux vous dire que jusqu’à hier

Jour de l’envoi le stress a été à son comble.

Pour couronner le tout

Au moment de fermer le colis

Je réalise que je n’ai plus l’adresse de Jill

Je soupçonne mon maniaque de mari

D’avoir fait le ménage!!!

Pas grave je l’ai obtenue

Par Eglantine Lilas mais aussi par Viviane

Que je remercie pour m’avoir sortie de ce mauvais sort!!!

Voilà qu’aujourd’hui le colis est bien arrivé

Que M’dame Jill est comblée de joie

Et nous de la savoir heureuse et émue!!!

Quant à moi je me sens

Comme une élève qui vient de réussir son BAC

Enfin je suppose que c’est comme ça qu’on se sent

Dans ces moments là

Parce que moi je n’ai pas le BAC hihi!!!

Je vous laisse une photo

De ma table de salle à manger

Tube de colle, ciseaux, autocollants

Feutres… j’avais sorti toute la batterie

Pour faire de ce cahier

Un petit bijoux.

Je me suis vue revenir 40 ans en arrière

Où à l’école nous échangions

Ce qu’on appelait « cahier de poésie »

C’était les blogs de notre époque 😆

Seulement je n’étais pas aussi appliquée

Plutôt brouillonne et peu inspirée.

Grâce à l’informatique, aux blogs

J’ai appris énormément.

Et si à l’école on m’avait enseigné les matières

De façon aussi ludique

C’est sûr que je l’aurais eu ce BAC

Et peut-être même que j’aurais fait de hautes études!!!

Voilà, à partir d’aujourd’hui je lève le pied

Je serai en vacances à partir du 8 juillet

Pour revenir fin du mois

Je vous souhaite à toutes et tous

Un bon temps des vacances!!!

-dimdamdom-

 

 

Stella je t’aime!!!

Je me souviens encore

Du jour où je t’ai rencontrée

Tout de suite tu m’as accroché

Tout contre mon corps

Tu t’es approchée

De tes lèvres tu m’as caressé

Je me suis senti devenir tout chose

Une béatitude d’un coup retrouvée

Je me suis senti des ailes pousser

La vie redevenait toute rose

Tu m’as aidé à dessiner mon destin

Tu m’as donné les clés

De mon bonheur retrouvé

Avec toi je me sens bien

Tu n’en es pas à ta première conquète

Je ne suis pas ton premier

Sans doute pas ton dernier

Mais j’aimerais que jamais ça ne s’arrête

Tu n’as pas bonne réputation

Souvent calomniée

Beaucoup jugée

A tort ou à raison

Mais moi qui te connais

Nos destins resteront liés

Je te voue toute mon amitié

Aujourd’hui et à jamais

J’ai beau avoir voulu te fuir

Chaque fois on s’est retrouvés

Dans un élan de sincérité

Avec toi je retrouve le sourire

Je t’aime ma bonne Stella

-dimdamdom-

La cour de récré de Jill Bill

Chère m’dame Jill Bill

En cette der

Qui sent la mise en bière

D’une année scolaire

Je viens vous dire

Que Stella avec son joli sourire

Aurait pu se nommer

Fabienne

Pour qui je lève mon verre

En lui disant

A la tienne

Fabienne

Je m’inquiète!!!

Je participe….Et vous???

Aux écrivains, aux photographes ……

Les participations doivent parvenir avant le 30 juin, je sais c’est court …….

Mais pour la bonne cause …….

La marguerite des possibles :

Copié chez “Les anthologies éphémères

“(Article publié dans La Bibliothèque de Quichottine.)

C’est Azalaïs qui m’a soufflé ce titre….

Et, depuis, il trotte dans ma tête, fait son chemin.

Peut-on écrire à partir d’un simple titre ?

(Pas si “simple” ici, en fait, mais nous allons faire “comme si”,

Comme si tout était possible à partir d’une fleur

Que l’on effeuille différemment à chaque âge de notre vie.)

Alors, voilà, c’est mon défi pour notre prochaine anthologie éphémère…

Azalaïs, Polly et moi, dans le cadre de La Petite Fabrique d’Écriture,

Nous recevrons vos propositions de textes et d’images

Et nous composerons le recueil dont nous offrirons les bénéfices,

En notre nom à tous, pour qu’un enfant malade puisse aller au bout de son rêve.

Un enfant, ou davantage… tout dépendant du montant réuni par sa vente.

Dans un premier temps, je ne vous donne que deux contraintes.

Votre texte ne doit pas dépasser 4000 caractères, espaces compris,

Et les images seront en noir et blanc, ceci pour limiter le prix de l’ouvrage terminé.

(Une impression couleur double le prix de revient…

et nous sommes en temps de crise, hélas !)

Ensuite, nous affinerons peut-être la consigne, en fonction de vos envois.

Pour l’instant, il n’y a que cette marguerite qui comporterait plusieurs chapitres :

“un peu”, “beaucoup”, “passionnément”, “à la folie” et “pas du tout”.

Je vous demande de nous raconter vos “possibles”

Sous forme de conte, de courte nouvelle ou de poème.

Merci à tous ceux qui participeront à ce nouveau projet.

Merci à Azalaïs et Polly qui en assumeront la gestion avec moi.

J’espère de tout cœur qu’il aboutira.”

Et plus d’explications LA

Des mots, une histoire n°106 de Olivia Billington : Adieu Belle-Maman!!!

Les mots pour la 106ème de « Des mots, une histoire » de Olivia Billington sont :

soulagement – soupirer – souci – bois – source – senteur – génie 

cafetière – grain – arôme – lavande – mauve – embaumer – momie

&&&&&

Par une soirée d’un été aux senteurs de lavande

Un couple était convié dans le service funéraire

De l’hôpital de la Source où quelques heures auparavant

La maman de madame venait de trépasser.

Tous les matins la fille avait l’habitude

De téléphoner à la mère à neuf heures tapantes.

Ce jour là quand elle l’appela elle comprit qu’il y avait un souci.

Sa mère après plusieurs sonneries finit par décrocher,

Elle semblait suffoquer.

Quand son beau-fils arriva sur les lieux, elle avait déjà un teint mauve.

Il ne trouva et surtout ne chercha aucun soulagement pour la sauver.

Il scruta tout l’appartement afin de trouver la cause de cette tragédie.

Il régnait dans la pièce un arôme de café.

Et c’est très vite qu’il comprit

En voyant dans le fond de la cafetière quelques grains de café

Qui vraisemblablement avaient été mal moulus.

Belle-maman venait de s’étouffer !!!

Il ne fallait pas être un génie pour le comprendre.

Maintenant le couple devait décider de ses funérailles

Cercueil en bois de hêtre ou de châtaigner?

Allaient-il l’incinérer ou l’enterrer?

Quelque soit leur décision

Il faudrait l’embaumer comme au temps des momies.

Madame ne faisait que pleurer et le beau-fils ne cessait de soupirer.

Voilà que c’était bien embarrassant de prendre une décision ,

Les prix étant excessifs.

Mais le beau-fils qui ne pouvait rien refuser à belle-maman

S’écria soudain :

Et bien nous allons l’embaumer,

Puis la brûler et nous enterrerons ses cendres

-dimdamdom-

Des mots une histoire de Olivia Billington

Ce texte n’est que pure fiction

Que je vous invite

A prendre au second degré 😉

 

Pas de chance pour Pamphile!!!

http://lesmoutonsenrages.fr/2012/09/

Dans les rues de la capitale

C’est mobilisation générale

Tout le monde défile

Même Pamphile

 

Comme son nom l’indique M°Prosper

Le patron d’une entreprise prospère

Assiste au défilé des mécontents

Qui lui inspirent de nobles sentiments

 

Il suggère d’embaucher

Sur le champs un seul employé

Et repère un manifestant

Dans la foule des mécontents

 

Il interpelle le gars dans la file

Qui n’est autre que ce cher Pamphile

Pour toi j’ai décidé de faire une entorse

Dit-il à notre Corse

 

Je t’engage immédiatement

Tu vas gagner beaucoup d’argent

Bien plus qu’au SMIC

N’est-ce pas magnifique?

 

C’est vraiment pas de chance

Nous sommes des millions en France

A chercher un emploi

Et il fallait que cela tombe sur moi

-dimdamdom-

La cour de récré de Jill Bill

Et bien voilà M’dame Jill-Bill

Pamphile se serait bien passé de cette promotion

Préférant se reposer sur sa belle île

Voilà ce que c’est Pamphile

D’avoir voulu être solidaire

De tes camarades 😕

Et bien ça tombe bien

Ce prénom entre dans le cadre

De ma participation pour la lettre P

Sur l’annuaire pour les Nuls

annuairepourlesnuls sur la plateforme APLN-blog

 

Il n’y a pas d’ami que des moments d’amitié!!!

Il n’y a pas d’ami

Que des moments d’amitié

Ce n’est pas moi qui le dis

C’est le renard

Celui qu’est rusé

Qui m’a ouvert le regard

Tu peux me croire

Tous ces mots déposés

Sont écrits dans le noir

Sur le net

L’amitié est illimitée

Rarement à perpète

Et quand tu perds un ami

C’est dix de retrouvés

C’est ça la vie

Quand tu n’en as plus

Tu vas en rechercher

Mais moi je n’en veux plus

Je veux un vrai ami

Lui offrir mon amitié

Quand j’aime c’est pour la vie

-dimdamdom-

Petit poème inspiré d’une citation de Jules Renard

« Il n’y a pas d’ami que des moments d’amitié »

 

Des mots, une histoire n°105 de Olivia Billington : Sale temps pour les fonctionnaires!!!

Pour la 105ème de « Des mots, une histoire » de Olivia Billington les mots sont :

arc-en-ciel – (bisounours) – hallebarde – fer – conserve – écoeurant – nausée 

grossesse – dépression – repos – météo – température – chaude – horizon

&&&&&

Par une chaude journée un notable voulait aller à la chasse.

Il appella son fonctionnaire météorologue

Et lui demanda de lui prédire les températures pour les heures suivantes.

Celui ci le rassura en lui affirmant dur comme fer

Qu’il pouvait aller tranquillement à la chasse,

Il n’y aurait pas de dépression

Tout au plus une petite averse suivie d’un arc en ciel.

Sur le chemin, le châtelain rencontra un paysan

Monté sur son âne qu’il appelait « Bisounours »,

Tout en se croisant le paysan dit  :

« Sir il vaut mieux que vous rebroussiez chemin

Car je vois à l’horizon de gros nuages annonçant

De grosses pluies dans peu de temps ».

Bien sûr, le notable continua en pensant :

« Comment ce type peut il mieux prédire le temps que mon spécialiste,

Payé grassement ,et qui m’a indiqué le contraire … »

 » Poursuivons.  »

Et c’est ce qu’il fit … et bien sûr, il plut à torrents.

Le notable trempé, rentra à la maison

Son épouse arborant une grossesse avancée

Fut très vite incommodée par l’odeur écoeurante de vieille conserve

Qu’il dégageait et fut prise de nausées

Furieux, il appela son fonctionnaire pour l’envoyer vers un repos forcé.

Il convoqua le paysan et lui offrit en plus de son hallebarde rutilante,

Avec laquelle il chassait cruellement,

Le poste de fonctionnaire, que le paysan refusa :

« Sir, je ne suis pas celui qui comprend quelque chose dans ces affaires de météo

Ni de climat, mais je sais que si les oreilles de mon âne sont baissées

Alors ça signifie qu’il va pleuvoir » !

 Et le notable sur le champ embaucha l’âne…

 C’est ainsi que commença la coutume de recruter des » bisounours »

Pour les postes de conseillers et fonctionnaires les mieux payés.

Des mots une histoire de Olivia Billington

 

Emerise ne veut pas connaître la crise!!!

Emerise

Vient de perdre son emploi

Elle ne veut pas connaître la crise

Et se rend au Pôle-Emploi

 

On lui propose

Moult emplois

Afin de sortir de cette pause

Des boulots à la noix

 

Oui mais Emerise étant diplômée

Aimerait un emploi

Avec hautes responsabilités

Dans la région de Troyes

 

Voilà que monsieur Paul Emploi

Lui fait une proposition

Son barratin il déploie

Qu’elle écoute avec beaucoup d’attention

 

Voilà Mademoiselle Emerise

Avec ce que je vous propose

Plus jamais vous ne connaîtrez la crise

Et vous verrez très vite la vie en rose

 

Vous aurez un poste très élevé

Plus de 5000 personnes en dessous de vous

Un poste à hautes responsabilités

Un projet complètement fou

 

 Prenez donc une chaise

Afin que je vous explique

Vous tondrez les pelouses au Père Lachaise

Avec une superbe tondeuse électrique.

 

-dimdamdom-

La cour de récré de Jill Bill

Ben voilà M’dame Jill-Bill

J’ai eu très peur pour ma petite Emerise

Mais je savais tout au fond de moi

Qu’elle ne finirait pas comme

Ceux qui désormais sont en dessous d’elle

A force d’attendre

Devant le Pôle Emploi 😥

Qu’on leur offre « L’Emploi »

Désormais on n’a plus le choix

Tu prends ce qu’on te donne

Sinon tu crèves!!!

Telle est la devise de monsieur Paul Emploi 😕

Dans la série les croqueurs de mots : La révolte à la basse-cour!!!

Pour la communauté : « Les Croqueurs de Mots »

Eglantine/Lilas à la barre n°104

Quinzaine du 3 au 16 juin 2013

Thème/défi du lundi « La révolte de la basse-cour ! »

Tout le plaisir est pour moi de participer à ce défi

Même si c’est une histoire réchauffée

Que certains auront sans doute déjà lue 😆

Aujourd’hui je suis venue vous parler de l’augmentation de la TVA

Mais aussi vous donner un petit aperçu sur l’origine

D’une expression que je trouve très drôle.

“Passer du coq à l’âne”

Cette expression serait un dérivé de celle datant du XIVe siècle :

“saillir du coq à l’asne”.

Au XIIIe siècle, le mot “asne” désignait une cane.

“Saillir” quant à lui n’a pas changé de sens, il signifie toujours “s’accoupler”.

Or, il semble que les coqs essaient parfois de se reproduire avec des canes.

“Saillir du coq à l’asne”

Serait donc devenu “passer du coq à l’âne”

Par déformation du mot “ane” sans accent.

Cette expression signifie que l’on parle d’un sujet

Puis d’un autre alors que ceux-ci n’ont pas de liens directs.

Maintenant si vous me le permettez

Je vous donne ma version.

Une poule sur un mur

Qui picore du pain dur

Picoti, picota

Lève la queue  puis tombe en bas

Oui mais voilà qu’en bas,

L’attendait un jeune coq

Un peu louffoque

Qui visiblement avait perdu ses breloques

Aussi futé qu’un renard

Il tint à la poule à peu près ce language.

Oh mais que vous êtes belle

Si votre ramage se rapporte à votre plumage….

Cocoti, cocota …

La poule du mur ne tomba pas

Et se fit immédiatement  la belle

Se souvenant de l’hiver dernier

Où le fermier

S’était mis en tête de saigner

A l’approche des réveillons

Celui qui deviendrait un délicieux chapon

Le pauvre coq avait été enfermé

Derrière un grillage

Cent cinquante jours avant l’abattage

Sur un plat il fut exposé tout nu

Privé de ses attributs

Même le chat passant par là

Se dit qu’on ne l’aurait pas

Même si on lui donnait la langue

De la bête exsangue.

C’est ainsi que la poule

Continua son chemin

Et au coin d’un bois

Rencontra un âne

J’aimerais pouvoir vous raconter

La suite de l’histoire

Mais j’ai subitement un trou de mémoire

Alors je vais passer du coq à l’âne

En vous parlant d’un sujet d’actualité

L’augmentation de la TVA

Au fait, savez vous ce que veut dire TVA

TVA= Trou vachement aggrandi

 Maintenant voici les termes médicaux de l’expression

Pour ceux que ça intéresse :

Pensée rapide et passer du coq à l’âne : Tachypsychie

(c’est agréable d’ailleurs, c’est comme quand on prend de la cocaine)

Désolée mais je dois déjà partir snif!!! 😥

Des mots, une histoire n°104 de Olivia Billington : Le simulacre de la bêtise!!!

Les mots pour la 104 ème de « Des mots, une histoires de Olivia Billington sont :

horloge – seconde – passer – temporalité – vraisemblance 

éviter – apparence – simulacre – digression – parenthèse

péché-mignon – succulent – gourmandise – dragée – bêtise

&&&&&

Je vais tout de suite placer la dragée haute

En vous parlant de l’acquisition du système de la temporalité!!!

En toute vraisemblance vous n’avez rien pigé, je vous rassure moi non plus.

Afin d’éviter toute digression, nous pourrions ouvrir une parenthèse

Et passer à la seconde et sans simulacre au sujet qui nous préoccupe :

La chronobiologie, une discipline scientifique

Etudiant l’organisation temporelle des êtres vivants.

Certains pensent que l’appétit vient en mangeant,

D’autres disent que la gourmandise est un vilain défaut

Et moi je dis que la bêtise vient en pensant,

Enfin ce n’est pas moi qui l’ai dit, c’est Jacques Pater

Moi je n’ai fait que le penser ce qui veut dire que je suis bête

Mais ne nous fions pas aux apparences 🙄

Ce qui nous amène à dire que nous sommes tous

Sous l’influence d’une horloge biologique.

La mienne est entrain de me dire qu’il est l’heure

De prendre un succulent café gourmand,

Ca tombe bien c’est mon péché-mignon

Mais elle me dit surtout d’arrêter de dire des conneries.

-dimdamdom-

Des mots une histoire de Olivia Billington

Je ne remercie pas la personne qui nous a imposé le mot « temporalité »

Mais au final je me suis bien amusée à pondre ce grand n’importe quoi!!! 😆