Aujourd’hui
Au rayon crèmerie
J’ai croisé par hasard
Son amusant regard.
C’est en toute simplicité
Qu’il m’a saluée.
Avec une pointe d’humour
J’ai répondu à son « Bonjour »
Vous auriez vu ses yeux de hibou
Quand j’ai fait « Miaou » !
Mais qui est ce personnage
Rencontré au rayon fromage?
On peut le voir sur les boîtes de chocolat
Mais aussi sur vos almanachs
Au rayon des bandes dessinées
Tout comme à la télé.
Son nom célèbre en France
Rime avec chance
Alors vous donnez votre langue au chat?
A celle ou celui qui trouve j’offre des chocolats.
-dimdamdom-
Pour le défi 155 chez les Croqueurs de Môts
Lénaïg nous demande de raconter
une belle rencontre, dans une des circonstances suivantes, au choix :
– en promenant son chien, ou tout autre animal favori,
– en attendant ses enfants à la sortie de l’école,
– en patientant dans une file d’attente.
Ou …
Brosser le portrait d’un animal ou d’un personnage célèbre (ou reconnaissable),
sans le nommer mais en donnant des indices au long de son poème.
Mon texte n’est pas une fiction
J’ai rencontré réellement ce drôle d’animal cette semaine
J’ouvre le concours
La dix-septième personne qui me donnera la bonne réponse
Sera récompensée comme il se doit 😉
Les commentaires sont modérés jusque demain soir minoui 🙂
Vous avez droit à trois réponses 😉
Et bien voilà l’heure est arrivée de vous annoncer
Le nom de la grande gagnante de ce défi
Bravo Laetitia
Tu remportes une boîte de langues de chat du Chat alias Philippe Geluck.
Bon ok être Belge était un atout pour remporter le lot.
Ok aussi j’ai voulu un peu brouiller les pistes
Avec l’image d’une girafe.
Mais franchement ça ne manquait pas d’indices.
Petite explication pour la rime entre France et chance.
Il faut savoir qu’en flamand de chez nous, Geluck veut dire chance.
Pour l’anecdote, le fils de Philippe Geluck qui s’est lancé dans la chanson
A pris le pseudonyme de Antoine Chance 😉
Et bien voilà merci à vous d’avoir pris la peine de jouer le jeu
Et merci à toi Lénaïg pour ton thème très suggestif.
Et pour finir, tout ce que je raconte dans ce petit poème est réel.
J’ai bien rencontré Philippe Geluck dans un supermarché
Et lorsqu’il m’a saluée, je n’ai rien trouvé de mieux que de lui faire un « miaou ».
C’est un monsieur charmant qui ne se prend pas la tête
Un artiste comme on les aime.